La capitale de l’Angleterre et du Royaume-Uni, Londres est une ville pleine de surprises, notamment avec ses maisons extraordinaires et originales.
Parmi les curiosités architecturales de la ville, une maison particulière attire l’attention.
Cette structure étroite et cylindrique en briques rouges, est considérée comme la plus petite maison de la ville. Elle a toujours captivé les habitants et les visiteurs.
Cette maison était autrefois un petit refuge construit au-dessus d’un passage étroit entre les numéros 9 et 11. Sa façade a été rénovée dans les années 1990.
Elle est accessible par une échelle. Cette « bâtisse » minuscule a toujours intrigué par son histoire mystérieuse et les théories étranges qui l’entourent.
L’une de ces théories suggère qu’elle a été construite pour bloquer une ruelle utilisée comme toilette publique menant au cimetière de St. George.
Une autre hypothèse affirme qu’elle servait de poste d’observation pour dissuader les pilleurs de tombes au XIXe siècle.
Certains pensent qu’elle a été bâtie par une femme du numéro 9 pour y loger sa domestique, créant ainsi une habitation distincte.
On raconte également qu’un vieil homme a refusé de quitter son modeste logis, entouré par des propriétés plus grandes.
Selon une légende locale, un homme de petite taille y aurait habité, inspirant peut-être J.M. Barrie pour son roman de 1902, « The Little White Bird ».
Au début du XXe siècle, cette maison est devenue l’une des curiosités de la ville bien connues.
Elle a été vendue aux enchères en 1933 et a été entretenue par le Dr John Lockhart Mummery.
Son seul résident officiel enregistré fut Lewis Grant Wallace, un écrivain et producteur de films, qui a quitté la maison en 1941.
Aujourd’hui, cette propriété appartient aux religieuses du couvent de Tyburn qui préservent ainsi son héritage mystérieux.